Avis à la profession : Le secteur du deuil a largement les moyens de s'occuper des personnes décédées pendant la pandémie

Communiqué de presse OOSFC —

La capacité du secteur du deuil à s'occuper professionnellement des personnes décédées pendant la pandémie reste forte et ne risque pas d'être dépassée en Ontario.

« Les établissements funéraires, les cimetières, les crématoriums et les installations d'hydrolyse continuent de répondre avec professionnalisme aux besoins des familles endeuillées, comme à l'accoutumée, dans la limite de leurs ressources, alors même que la deuxième vague de la pandémie atteint de nouveaux sommets en termes de nombre d'infections », a déclaré Carey Smith, directeur général/registraire de l'Office ontarien des services funéraires et des cimetières (OOSFC), l'organisme de réglementation du secteur.

Mesures de confinement

« Les professionnels du deuil, agréés par L'OOSFC, continuent de relever les défis de la pandémie tout en assurant la sécurité et en appliquant des mesures strictes de confinement », a ajouté Mme Smith.

Pendant la période de fermeture de la province, tous les services funéraires sont limités à un maximum de 10 personnes à la fois, sans compter le personnel funéraire. Pour plus d'informations, consultez la foire aux questions et le tableau de L'OOSFC.

À propos de OOSFC

L'Office des bercements de l'Ontario (OOSFC) est une autorité gouvernementale déléguée qui administre les dispositions de la Loi de 2002 sur les services de funérailles, d'inhumation et de crémation (FBCSA) au nom du ministère des Services gouvernementaux et des Services aux consommateurs. Responsable de la protection de l'intérêt public, L'OOSFC réglemente et soutient les opérateurs d'établissements funéraires, les directeurs et les planificateurs funéraires, les opérateurs de cimetières, de crématoriums et de services de disposition alternatifs, les opérateurs de services de transfert et les représentants commerciaux du secteur des services de deuil dans l'ensemble de l'Ontario. L'OOSFC est entièrement financé par les droits des titulaires de permis (et non par l'argent des contribuables).

Contact pour les médias
David.Br azeau@thebao.ca
Responsable de la communication
OOSFC

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