A group of people walking in a park.

Les mesures COVID-19 de l'autorité compétente en matière de deuil contribuent à alléger la pression sur les hôpitaux

Cet article a été fourni par L'OOSFC à l'Association des hôpitaux de l'Ontario (OHA) pour qu'elle le partage avec les hôpitaux. Un de deux articles / Lire l'article 2

L'Autorité ontarienne des services de pompes funèbres (OOSFC) a mis en place des mesures pour aider les hôpitaux à gérer les décès de patients pendant la pandémie.

L'OOSFC est l'autorité administrative déléguée par le gouvernement qui réglemente le secteur des soins funéraires en Ontario. Ses plus de 5 300 licenciés fournissent des services professionnels aux familles en deuil pour les funérailles, les transferts, les enterrements, les crémations et l'hydrolyse d'êtres chers décédés.

Le 12 janvier, le jour où le gouvernement de l'Ontario a déclaré une deuxième urgence provinciale, L'OOSFC a publié une directive du registraire mettant en place de nouvelles mesures. Les mesures concernant le secteur du deuil permettent de continuer à disposer en temps voulu des personnes décédées et de minimiser le risque d'engorgement des morgues des hôpitaux.

MEDR –
Transférer rapidement les personnes décédées depuis les hôpitaux

Cette directive, appelée plan MEDR (Modified Expedited Death Response), soutient les soins de santé en transférant rapidement les morts hors des hôpitaux et en permettant au personnel hospitalier de consacrer plus de temps aux soins des vivants.

Le personnel de santé se souvient peut-être de l'efficacité du premier plan d'intervention rapide en cas de décès lors de la première vague de la pandémie.

Voici ce que le personnel soignant des hôpitaux doit savoir sur le plan modifié du RGPD :

  • Le personnel chargé des funérailles ou du transfert doit se rendre dans les hôpitaux et les établissements de soins de longue durée (SLD) dans les six (6) heures suivant l'annonce que le défunt est prêt à être libéré.
  • Le personnel des pompes funèbres/du transfert se rendra à l'intérieur de l'hôpital/de la SLD si nécessaire et enlèvera le défunt. (Il s'agit d'un changement par rapport aux anciens protocoles EDR de la première vague).
  • Un certificat médical de décès dûment rempli et signé est nécessaire pour que le défunt puisse être pris en charge par le service funéraire/de transfert.
  • Le personnel des services funéraires ou de transfert doit prendre des dispositions avec la famille dans les 24 heures suivant la prise en charge du corps. L'élimination doit avoir lieu le plus rapidement possible. Il ne doit pas y avoir de stockage ou d'entreposage des défunts.

Dans le cadre du MEDR, les cimetières, les crématoriums et les services d'hydrolyse sont tenus de mettre en place toutes les ressources nécessaires pour fonctionner à pleine capacité afin de garantir qu'il n'y ait pas de stockage des morts, comme cela s'est produit aux États-Unis, en Espagne, en Italie et dans la province de Québec.

Lisez l'intégralité de la directive MEDR du registraire de OOSFC sur le site Web de OOSFC, qui a été mise à jour le 9 février en conformité avec les nouvelles règles provinciales.

Cet article a été fourni par L'OOSFC à l'Association des hôpitaux de l'Ontario (OHA) pour qu'elle le partage avec les hôpitaux. Un de deux articles / Lire l'article 2

À propos de OOSFC

L'Office des bercements de l'Ontario (OOSFC) est une autorité gouvernementale déléguée qui administre les dispositions de la Loi de 2002 sur les services de funérailles, d'inhumation et de crémation (FBCSA) au nom du ministère des Services gouvernementaux et des Services aux consommateurs. Responsable de la protection de l'intérêt public, L'OOSFC réglemente et soutient les opérateurs d'établissements funéraires, les directeurs et les planificateurs funéraires, les opérateurs de cimetières, de crématoriums et de services de disposition alternatifs, les opérateurs de services de transfert et les représentants commerciaux du secteur des services de deuil dans l'ensemble de l'Ontario. L'OOSFC est entièrement financé par les droits des titulaires de permis (et non par l'argent des contribuables).