Bienvenue à la FAQ de l'Office ontarien des services funéraires et des cimetières destinée aux titulaires de permis.

Voici une liste de questions fréquemment posées (FAQ) que notre personnel OOSFC reçoit régulièrement par téléphone et par courrier électronique. Certaines des réponses à ces questions et à d'autres se trouvent également dans notre guide d'information du consommateur OOSFC, pratique et gratuit. La table des matières du guide se trouve à la page quatre.

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Pour le public (familles/consommateurs), nous avons également une page FAQ.

FAQ pour les licenciés

Professionnels et opérateurs commerciaux agréés par L'OOSFC

1. Qui peut donner des instructions – Qui a le droit de prendre des dispositions pour la personne décédée ?
Laloi de 2002 sur les services funéraires, d'inhumationet de crémation ( Funeral, Burialand Cremation Services Act, 2002 ) ne précise pas à qui il convient de demander des instructions pour la fourniture de services de soins aux personnes décédées. Par conséquent, L'OOSFC ne peut pas fournir d'avis juridique sur toute question relative au droit d'une personne à prendre des décisions en matière de soins funéraires, et ne peut offrir que des conseils et des informations d'ordre général.
En l'absence de testament, et donc d'exécuteur testamentaire, la loi sur la réforme du droit des successions définit la manière dont les biens du défunt seront distribués.
Il appartient à l'entreprise de pompes funèbres de s'assurer qu'elle traite avec les bonnes parties. En cas de conflit familial entre les proches parents, nous conseillons à l'entreprise de pompes funèbres de conseiller à la famille de parvenir à un accord ou de saisir les tribunaux pour qu'un administrateur soit désigné. En outre, les entreprises funéraires sont encouragées à consulter leur propre conseiller juridique pour obtenir des conseils.
Les droits d'inhumation, s'ils ne sont pas spécifiquement mentionnés dans un testament, sont généralement régis par la loi sur la réforme du droit des successions. Cela signifie, par exemple, qu'après le décès du titulaire des droits d'inhumation, les droits sont transmis en premier lieu au conjoint vivant. S'il n'y a pas de conjoint, les droits sont transmis à parts égales aux enfants adultes. S'il n'y a pas d'enfants, les droits sont transmis dans l'ordre suivant : petits-enfants, arrière-petits-enfants, parents, frères et sœurs, puis tantes, oncles et cousins. Ce qui précède ne constitue pas un avis juridique et les familles devraient être encouragées à demander un avis juridique indépendant spécifique à leur situation.
Il appartient à chaque cimetière de s'assurer qu'il traite avec les bonnes parties et, dans de nombreux cas, des documents justificatifs ou des formulaires d'autorisation prouvant qu'il suit les instructions de l'IRH en place peuvent être exigés.

2. Quelles sont les mesures à prendre en ce qui concerne les cendres non réclamées ?
L'exploitant doit conserver les cendres pendant au moins un an à compter de la date d'incinération, après quoi il peut prendre des dispositions pour les inhumer dans un terrain communal. Conformément au règlement de l'Ontario 30/11, un exploitant en possession de restes incinérés doit faire des efforts raisonnables pour contacter la personne qui a le droit de recevoir les restes incinérés avant l'enterrement.

3. Les chèques de remboursement des paiements anticipés sont-ils délivrés à la succession du défunt ?
La loi de 2002 sur les services de funérailles, d'enterrement et de crémation (Funeral, Burial and Cremation Services Act, 2002 ) ne précise pas à qui le remboursement doit être effectué. Bien qu'il s'agisse généralement de la succession du défunt ou du propriétaire des fonds utilisés à l'origine pour payer le contrat à l'avance, cela reste une décision commerciale au niveau de l'opérateur et peut dépendre des conditions générales du contrat initial.

4. Dois-je mettre à jour mon lieu de travail s'il change ?
Oui. Les titulaires de licence sont tenus d'informer L'OOSFC de toute modification de leur emploi dans les 15 jours suivant le changement et doivent indiquer le(s) motif(s) de résiliation, le cas échéant. Toutes les modifications doivent être communiquées par écrit en envoyant un courrier électronique ou en soumettant un formulaire de modification des informations personnelles.

5. À qui doit-on soumettre le règlement du cimetière ?
Les règlements doivent être soumis au OOSFC et approuvés avant d'entrer en vigueur. La procédure de soumission se trouve sur notre site Web, à la page intitulée Modèles de documents et de contrats de cimetière. Si un cimetière n'a pas de règlement, des exemples de règlement sont disponibles sur cette page Web.

6. Dois-je également soumettre ma liste de prix au OOSFC ?
Les listes de prix, les contrats et les certificats de droits d'inhumation n'ont pas à être déposés auprès de OOSFC, mais leur conformité sera examinée dans le cadre du processus d'inspection. Tous les exploitants de l'Ontario doivent se conformer pleinement à ces exigences.
Pour rappel, conformément à l'article 69 (1) du Règlement de l'Ontario 30/11, les cimetières doivent informer de ces augmentations tout fournisseur de marqueurs ou de monuments avec lequel ils ont traité au cours des 12 derniers mois, et ce, au moins 30 jours avant l'entrée en vigueur du nouveau prix. Les listes de prix doivent figurer sur le site web public de l'opérateur ou être proposées au public sous forme imprimée.

7. À quoi les cimetières peuvent-ils consacrer les revenus provenant des fonds de soins et d'entretien ?
Veuillez consulter l'article 93 du Règlement de l'Ontario 30/11 pour connaître l'utilisation acceptable des revenus provenant de votre fonds ou compte de soins et d'entretien.

8. Quelles sont les conditions requises pour une désincarcération ?
L'autorisation écrite de tous les détenteurs de droits d'inhumation et les dispositions relatives au transfert de la dépouille mortelle/crématisée vers le nouveau lieu d'inhumation, le cas échéant, doivent être prises avant que la désincarcération n'ait lieu. Dans le cas d'une désincarcération d'un corps entier, une notification doit être adressée au médecin hygiéniste local (l'autorisation du médecin hygiéniste n'est pas requise pour une désincarcération de restes incinérés).
Le cimetière d'origine doit mettre à jour ses registres et conserver toutes les autorisations écrites. Si le lot est racheté au(x) détenteur(s) des droits d'inhumation ou si la revente des droits d'inhumation est autorisée, les acheteurs potentiels doivent être informés que le lot a été utilisé précédemment. Envisager de limiter la présence de personnes autres que le personnel lors de la désincarcération lorsque la sécurité peut être mise en cause. Le coût de l'exhumation doit figurer sur votre liste de prix et vos règlements doivent préciser ce qui est inclus dans le coût de l'inhumation. Veuillez consulter le règlement de l'Ontario 30/11, article 162 – Disinterment and removal of human remains (Désinvestissement et enlèvement des restes humains).

9. Peut-on exiger l'utilisation de voûtes ?
L'utilisation et la vente de revêtements extérieurs et/ou de caveaux aux consommateurs ne peuvent pas être rendues obligatoires, à moins que le médecin hygiéniste ne le juge nécessaire. Le règlement du cimetière peut exiger l'utilisation de voûtes ou de doublures pour des sections spécifiques où des problèmes de sécurité l'exigent, c'est-à-dire des problèmes de nappe phréatique, de nivellement, de pente ou de remblais, ou pour des inhumations en double ou en profondeur. Les opérateurs qui exigent l'utilisation de voûtes dans certaines situations doivent également disposer d'une section où l'utilisation de voûtes n'est pas obligatoire.

10. Quelles sont les exigences en matière de profondeur pour l'inhumation de cendres ?
Il n'existe pas de disposition dans la loi sur la sécurité et la santé au travail (FBCSA) définissant une profondeur requise pour l'inhumation des restes incinérés. Les exploitants sont invités à inclure dans leurs règlements une politique d'inhumation des restes incinérés.

11. A. Un petit exploitant de cimetière, qui effectue habituellement moins de 10 inhumations par année, devrait-il percevoir les nouveaux droits de 30 $ (à compter du1er juillet) au cas où il déclarerait plus de 10 inhumations lors du renouvellement annuel de son permis ? (le seuil exigeant que les 30 $ de droits de licence soient versés au OOSFC).
11. B. Si l'exploitant de cimetière perçoit les droits, mais ne déclare pas plus de 10 inhumations, doit-il rembourser les droits au consommateur ou doit-il verser les droits au OOSFC sans tenir compte des exemptions relatives au rapport annuel de délivrance de permis ?

Les exploitants de cimetière qui ne savent pas s'ils dépasseront 10 inhumations au cours d'une année donnée peuvent décider de percevoir ou non les droits de protection du consommateur de l'Office des cimetières de l'Ontario tout au long de l'année. Ils peuvent également décider d'inclure les frais de 30 $ dans leurs frais de service (comme les frais d'ouverture et de fermeture) ou de les inscrire séparément comme débours.
Les exploitants de cimetières qui choisissent d'inclure les frais dans leurs frais de service et qui n'effectuent pas plus de 10 inhumations au cours de l'année ne sont pas tenus de rembourser les frais aux consommateurs ni de les transmettre à l'Office des cimetières de l'Ontario.

(Les réponses aux questions concernant les frais de renouvellement du permis de l'OBA – appelés frais de protection du consommateur de l'Office des cimetières de l'Ontario – se trouvent sur cette page).

12. La taxe de vente harmonisée (TVH) sera-t-elle assujettie ou ajoutée aux droits de permis, appelés droits de protection du consommateur de l'Office ontarien des services funéraires et des cimetières?
L'OBA n'impose pas la TVH sur ses frais.

13. Les gens peuvent-ils faire enterrer leur animal de compagnie avec eux ?
Oui, les animaux de compagnie décédés peuvent être enterrés avec les humains décédés dans un cimetière pour humains, à condition que le règlement du cimetière le permette. Les exploitants de cimetières rédigent leurs propres règlements, qui doivent être approuvés par le Registrar, Funeral, Burial and Cremation Services Act, 2002 (loi sur les services funéraires, d'inhumation et de crémation). La loi elle-même ne dit rien sur l'enterrement des animaux de compagnie avec les humains dans les cimetières humains. L'OOSFC a donc choisi de rédiger des lignes directrices à l'intention des exploitants de cimetières qui souhaitent autoriser l'inhumation d'animaux de compagnie avec des êtres humains. Lisez les lignes directrices ici.

14. Où puis-je trouver des formulaires OOSFC ? (concernant les licences, les formulaires pour les maisons funéraires, les cimetières, les crématoriums, les installations de disposition alternative…)
Voici notre court article sur ce sujet, avec des liens vers les formulaires les plus couramment utilisés par les titulaires de licences. D'autres liens utiles sont disponibles dans notre Centre de ressources pour les titulaires de licences.

Droits de permis
Vous trouverez sur cette page les réponses aux questions concernant les droits de renouvellement du permis de l'OBA, appelés droits de protection du consommateur de l'Office des cimetières de l'Ontario.

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